"Avec Michel Rocard s’est éteint un homme d’État et une grande intelligence.
A titre personnel, j’ai eu la chance de le rencontrer deux fois. Lorsque j’avais 17 ans, il était venu au lycée pour parler aux élèves de l’engagement et du bien commun. Cela m’a marqué : qu’un homme de sa stature consacre du temps à parler du bien commun à quelques jeunes gens ! Il y a quelques années, je l’ai revu à Genève où il racontait son combat contre les brevets logiciels.
Le label "Territoire Numérique Libre" est une initiative de l'association, destinée à mettre en valeur l’utilisation de logiciels et systèmes d’exploitation libres au sein des collectivités territoriales françaises. Il encourage les usages numériques Libres, Citoyens et Collaboratifs, valorise la mise à disposition des données publiques (open data), ainsi que l’utilisation de formats ouverts pour faciliter les échanges.
Après des mois de maturation, la nouvelle version du Référentiel Général d’Interopérabilité est enfin sortie. L'arrêté, publié au Journal Officiel le 22 avril 2016, officialise le lancement de cette v2. Cette version encourage notamment l'utilisation des formats ouverts pour garantir la pérennité des documents.
Fruit des efforts concertés de la DINSIC, d'experts et contributeurs avertis (voir l'article sur l'appel à commentaires), cette version recense toutes les normes et standards, évalués selon ces critères (la non satisfaction d'un critère n'étant pas éliminatoire) :
Nicolas Vivant est directeur du système d’information à la mairie de Fontaine, en Isère. Depuis quelques années, il s’attelle à la migration du parc informatique vers des solutions logicielles open source et libres.
Des logiciels libres d’abord, puis des distributions GNU/Linux entières, ont débarqué sur les ordinateurs des employés de la mairie et des écoles. Comment s’est réalisée cette migration ? Quels retours des usagers ? Quels avantages ? Nicolas a accepté de répondre aux questions de la commission Partage 2.0