« L'histoire se répète, la première fois comme une tragédie, ensuite comme une farce. »
Lundi 30 novembre, la signature d'une convention de partenariat entre Microsoft et la ministre de l'Éducation Nationale a provoqué un mouvement d'indignation de la part de toutes les associations, entreprises et citoyens qui soutiennent le libre.
En réaction à un autre accord-cadre, ces acteurs, mais aussi tous les syndicats enseignants unanimes (ce n'est pas si fréquent) s'étaient déjà scandalisés en 2004 ; voir le communiqué de l'AFUL "Pour une véritable politique de développement du logiciel libre dans l'éducation nationale".
L'ADULLACT avait fait retirer alors l'avenant 4, dans lequel l'Etat promettait en substance de faire acheter par les collectivités un volumes de licences. Il est impoli de promettre pour les autres ! Voir la page 3 du compte-rendu de l'Assemblée Générale du 3 juin 2004.
Colibre est le nom de la licence universitaire (LUP) « Communication, Logiciels Libres et Sources Ouvertes » proposée par l’Université Lumière Lyon2. L’objectif de cette licence est de former des professionnels de la communication ayant pour singularité d’accompagner leurs différentes pratiques métiers de l’utilisation de logiciels libres et d’être sensibilisés aux sources ouvertes.
Le rapport du Conseil supérieur des programmes, publié le mardi 10 juin 2014, représente un tournant décisif pour le système de formation en France.
En effet, 8 organismes et associations (SIF, CNRS, Association Française des Éditeurs de Logiciels et Solutions Internet (AFDEL), Fédération des Parents d’Élèves de l’Enseignement Public (PEEP), Pasc@line, Syntec Numérique, Association Enseignement Public et Informatique (EPI), Inria), signent un communiqué commun concernant le rapport du Conseil supérieur des programmes dans lequel elles s’engagent en faveur de l’enseignement de l’informatique en France.
La version 4 du Référentiel Général d’Amélioration de l’Accessibilité (RGAA), fruit du travail conjugué du Secrétariat d'État chargé des personnes handicapées et de la Direction interministérielle du numérique, a été publiée le 20 septembre 2019. Au programme : réécriture ou suppression de certains critères et transposition des nouveaux critères issus de la mise à jour de la norme internationale WCAG 2.1.